«Fragments d'un paradis éclaire enfin sur l'art poétique de Giono et sa véritable religion de l'imaginaire verbal.
Peu lui importe de n'avoir pas navigué ; pour Giono le réalisme n'existe pas et ne saurait exister. Dans la mesure où il procède de forces supérieures à l'imagination humaine, le réel doit être, selon lui, plus fabuleux et incroyable que toutes nos chimères.